BIENVENUE SUR LE SITE AVF DE TASSIN LA DEMI-LUNE
Soyez les bienvenus
Accéder à la présidence de l’AVF de Tassin la Demi-Lune est une lourde tâche, c’est relever le défi de succéder à des responsables qui ont tracé une route exigeante: depuis Bernadette qui a maintenu haut et fort les valeurs de l’accueil au nouvel arrivant alors que nous n’étions qu’une antenne; puis Brigitte qui proclama notre indépendance après quelques obstacles parfois délicats à franchir, tant il est vrai que gagner la confiance des autres n’est pas chose simple, et nous mena d’une trentaine d’adhérents à plus de cent ; enfin Serge qui a pris la présidence en pleine épidémie et nous a permis de traverser ces phases de confinements sans catastrophe sanitaire. Qu’ils soient tous les trois remerciés pour leur dévouement et leur confiance dans le rôle des bénévoles de notre AVF Tassilunois. Il faut donc faire des projets à la lumière du Projet Associatif de notre Réseau, et avec le soutien d’une municipalité qui répond à chacune de nos demandes: créer de nouvelles activités qui permettront de maintenir ou de créer les liens qui unissent les adhérents anciens ou nouveaux, renforcer celles qui existent déjà et ont fait leurs preuves, développer les actions et rencontres interAVF de façon à consolider la notion de Réseau, participer aux actions de l’URAVF Rhône-Alpes; tout cela à la lumière de la Charte Nationale, des nouveaux statuts et du règlement intérieur qui sont à mettre en place et à faire partager par tous. Et aussi d’avoir un regard vers les autres associations de la commune dans l’optique d’un „mieux vivre à Tassin“. Je souhaite la bienvenue aux nouveaux tassilunois de toutes générations , en espérant qu’ils deviendront de nouveaux adhérents et qu’ils trouveront dans notre AVF l’accueil qu’ils sont en droit de recevoir. Christian Mathon
Visite de l’Opéra de Lyon
Visite de l’Opéra de Lyon le 10 mars 2025
NOIR, ROUGE et OR
Le noir couleur dominante de l’ensemble architecturale permet la concentration du regard sur la scène et invite au théâtre…
Rendez-vous ce lundi 10 mars 2025 place de la Comédie, nous allons visiter l’Opéra de Lyon…
Construit en 1831, sous le nom de Grand Théâtre, dans les anciens jardins de l’Hôtel de Ville, il a été complétement restructuré entre 1989 et 1993 par Jean Nouvel qui a su établir « un dialogue entre Histoire et Modernité ».
Totalement évidé, l’ancien édifice ne conserve que ses 4 façades et son Foyer du XIXe siècle. Il reçoit une structure sur pilotis de 14 800 m², développée sur 18 niveaux dont 5 en sous-sol et 6 dans la verrière semi-circulaire. (42 m du sol, plus 20 m de sous-sol ; 3 x plus important qu’avant, coût 478 millions de francs)
Notre déambulation, alternant escalators, passerelles suspendues et platelages métalliques, nous amènera dans l’amphithéâtre puis une des 3 salles de répétition, jusque sous le « ventre » de la salle : cette coque noire brillante suspendue (un bateau, deux fleuves ! ) qui compte 1 100 places : un théâtre à dimension humaine, de qualité et à l’acoustique excellente. Puis nous admirerons le Foyer XIXe : fresques et masques pour accéder enfin aux espaces des studios du Ballet (verrière répondant au dôme de la Tour du Crédit Lyonnais).
L’Opéra de Lyon a fait le choix d’une politique artistique audacieuse, recevant des talents venus du monde entier tout en conservant la volonté de rendre cette « maison » accueillante au plus grand nombre. (Les arcades du parvis de l’Opéra accueillent les pratiquants de Breakdance, qui s’y entrainent depuis les années 1990).
Les muses, au nombre de 8 et non de 9 : Calliope (poésie), Clio (histoire), Erato (poésie lyrique et érotique), Enterpe (musique), Mélponène (tragédie et chant), Polymnie (rhétorique et éloquence), Terpsichore (danse), Thalie (comédie).
Uranie (astronomie) est la manquante… à vrai dire elle n’a guère d’affinités avec l’art lyrique… donc M. Chenavard (Architecte de la reconstruction de l’Opéra 1826-1834) lui trouva un gîte Place des Cordeliers (colonne du Méridien)…Mais depuis la réhabilitation de cette place… où est passée cette 9e muse ?
La Femme pendant la première guerre mondiale
LES FEMMES SOUS LA 1ère GUERRE MONDIALE Et vraiment ce vendredi 14 février 2025 n’a pas été triste. Cette conférence fut joyeusement animée par Monsieur Louis Mercadié, Membre de la Société des lettres, sciences et arts de l’Aveyron et conférencier. Nous avons visionné de superbes photos de ces femmes qui ont dû remplacer «leurs» hommes qui se sont sacrifiés pour «leur patrie». L’introduction de Monsieur Mercadié vaut le plaisir de la retranscrire ci-dessous « Les femmes ont des énergies qui étonnent les hommes : Elles affrontent les difficultés, règlent les problèmes graves. Elles sourient quand elles voudraient crier, elles chantent quand elles voudraient pleurer, elles pleurent quand elles sont heureuses, elles rient quand elles sont nerveuses. Elles luttent pour ce en quoi elles croient. Elles se rebellent contre l’injustice. Elles n’acceptent pas un « non » pour réponse quand elles croient qu’il y a une meilleure solution. Elles se privent pour maintenir la famille debout. Elles aiment inconditionnellement. Elles pleurent quand leurs enfants ont du succès, et elles se réjouissent pour les chances de leurs amis. Elles sont fortes quand elles pensent ne plus avoir d’énergie. Elles savent qu’un baiser peut aider à soigner, un coeur brisé. Elles ont un gros défaut, elles oublient combien elles valent… Reprenons le thème de notre conférence, Nous sommes 48 adhérents attentifs à la projection et commentaires de notre conférencier. Des photos de femmes au travail. Elles sont devenues pour la «cause» : agricultrices, paysannes, mécaniciennes, chauffeurs de tramway, cordonnières, ouvrières, pompières. Elles ont fabriqué des obus (avec tant de risques) mais aussi, après le travail, soir ou matin, elles ont ramassé du bois pour chauffer la soupe, et continuer à faire «tourner» la maison et les enfants. Et puis….Aussi…elles ont, pour certaines (et beaucoup trop), été victimes d’exactions : vols, viols, meurtres. D’autres sont devenus ces «anges blancs », infirmières de fortune mais si généreuses. N’oublions pas ces marraines de guerre qui les ont aidés nos poilus à patienter et parfois recueillis. Toutes ont soutenu ces jeunes soldats Cette guerre a été longue, difficile pour tous, pour leurs enfants que l’on préférait ne pas voir «jouer» à la guerre. Cette guerre qui a fait avancer la médecine et surtout la chirurgie pour réparer ces gueules cassées : Elle a été une guerre Durant ce temps une génération de femme a été bien courageuse et encore beaucoup plus







INSTITUT LUMIERE
LE CINEMA EST NE A LYON Ce matin, 6 février 2025, nous nous sommes rendus à la visite guidée dédiée au Cinématographe et à l’histoire de la Famille Lumière, Rue du 1er film dans le quartier de Monplaisir. Le Musée Lumière nous invite à remonter le temps. Des images animées, lanternes magiques jusqu’au prototype de film sur papier (1895) et des plaques autochromes (1903). Déambulant dans le décor élégant de la demeure familiale entre plafonds ouvragés, escalier monumental et verrière du jardin d’hiver nous avons fait connaissance de Louis et Auguste, de leur ingéniosité et modernité, à la tête de la plus grande manufacture photographique d’Europe durant cette période appelée « Révolution industrielle ». La collection d’appareils anciens comporte d’incontournables chefs d’œuvre techniques. Cette famille d’inventeurs est à la hauteur de son nom. Archivant le passé, créant le métier de réalisateur tout en illuminant la vie des spectateurs. La projection de plusieurs films, réalisés dans les quartiers de Lyon, a ponctué notre visite.










